Quand vous utilisez des applications de messagerie, vos données personnelles sont à la portée de tous surtout le gouvernement. Pour cela, il faut être vigilant quant au choix de vos applications de messagerie pour que vos informations privées ne soient pas entièrement exposées. Si WhatsApp est l’application de messagerie la plus utilisée, sachez qu’elle fait partie des applis espion selon le FBI.
WhatsApp : des conversations non protégées !
Rolling Stone a fait la découverte d’un document accablant sur les applications de messagerie. Ce document révèle que les données personnelles d’iMessage et de WhatsApp sont exploitées par le FBI. Ce qui veut dire que l’Etat peut parvenir facilement à voir tous vos messages, photos, historiques grâce à ces messageries.
Concernant WhatsApp, cette application n’apporte aucune sécurité quant à l’accès de vos informations personnelles. Grâce aux renseignements aperçus dans ces applications, le FBI peut demander un mandat de perquisition ou une assignation. Même si ces applications parlent ainsi de la sécurité des données, elle n’est pas au rendez-vous.
iMessage : des informations révélées sur demande au tribunal
Différente de WhatsApp, iMessage d’Apple fonctionne d’une autre manière. Pour son appli iMessage, Apple est en possession des clés d’iCloud qui peuvent être données à la demande du FBI. Pour cela, toutes vos informations peuvent être confiées au FBI ou au gouvernement avec une simple demande au tribunal. Ces données ne considèrent pas les messages réels ainsi que les messages échangés entre plusieurs utilisateurs.
WhatsApp reste l’appli de messagerie la plus douteuse
Entre WhatsApp et iMessage, c’est WhatsApp qui remporte la première place comme étant l’appli la moins sécurisée. En fournissant en temps réel les informations et activités des utilisateurs, sa sécurité reste donc très minime.
Selon le FBI, WhatsApp est en mesure de livrer aux autorités tous les contacts liés à une personne concernée ainsi que tous les messages avec leur contenu. Cela ne s’arrête pas là ! WhatsApp conçoit des métadonnées sur chaque utilisateur qui s’élaborent toute une quinzaine de minutes. Ces métadonnées divulguent le destinataire ainsi que l’heure des messages envoyés.
WhatsApp ne finit pas de mentir sur ses magouilles. Après avoir être condamné pour son chiffrement de bout en bout de la messagerie, un autre lanceur d’alerte vient de dévoiler une autre information expliquant que WhatsApp minimise la sécurité des données des utilisateurs car le FBI peut avoir en main en quelques clics tous les détails intimes de notre quotidien. Une grande ouverture à la mise en place d’un régime autoritaire.