L’animatrice a encore fait parler d’elle. Sophie Davant tacle cette experte qui s’est montrée trop dur avec un vendeur. Les détails !
Dans Affaires conclue, tous les travaux d’expertises ne sont pas toujours bien accueillis. Ce qui oblige parfois certains commissaires-priseurs de bien clarifier les choses pour éviter toutes polémiques. Une attitude pas toujours tolérée par l’animatrice. Aux commandes d’un nouvel épisode de cette émission d’enchères de France 2, Sophie Davant tacle cette experte qui s’est montrée trop dur avec un vendeur. On vous raconte tout !
« Il n’y a pas une cote extravagante sur cette production ».
Il s’agit en effet d’Enora Alix, celle qu’on surnommait déjà la briseuse d’espoirs. Depuis sa première émission, la collègue de Harold Hessel a toujours dit la vérité lorsqu’elle s’engage à entreprendre une expertise autour d’un objet donné. Un caractère qui ne manque pas de frustrer certains candidats comme ce fut le cas de Bruno pour ce mardi 15 juin 2021.
Commissaire-priseur dans Affaire conclue, Enora Alix dit toujours la vérité sur les objets qu’elle expertise, sans forcément prendre de gants. Très directe, elle a même maintes fois irrité des vendeurs qui espéraient avoir une estimation plus clémente. Dans le numéro diffusé ce mardi 15 juin sur France 2, c’est le pauvre Bruno qui s’est pris son franc-parler en pleine face.
Ce vendeur de 57 ans s’est présenté devant Sophie Davant avec un vase en étain, de style Art Nouveau. Un objet d’apparence très élégante. En regardant de loin sa forme, une telle œuvre est forcément celle d’un grand professionnel. Avec sa brillance, le vendeur était sûr de partir avec un joli pactole.
Mais en passant devant Enora Alix, elle lui a tout de suite fait comprendre les défauts. « Oh, il y a des petites fissures… », remarquait-elle au tout début. En trouvant la signature, la valeur de l’objet s’est dégringolée. « Votre vase, il est signé par Elsie Hering, c’est une femme américaine qui a fait des petites sculptures Art Nouveau, en étain ou en régule. Ce n’est pas un très très grand nom, déclarait clairement Enora Alix, sans mâcher ses mots. Il n’y a pas une cote extravagante sur cette production », ajoutait-elle encore.
« J’aime bien sa manière diplomatique d’asséner les informations… »
Un manque de diplomatie que Sophie Davant n’a pas manqué de lui faire savoir. « J’aime bien sa manière diplomatique d’asséner les informations… », ironisait-elle. « Mais comment il faut le dire ? », l’interrogeait donc la principale intéressée. « Je ne sais pas, on peut trouver un moyen plus enrobé… », lui a suggéré Sophie Davant.