Sophie Davant et William Leymergie baissent la garde, cet événement a tout fait basculer entre tous deux… Trop-Libre vous raconte tout !
Ce n’était pas évident pour l’animatrice d’Affaire conclue d’aimer un homme qui n’avait d’yeux que pour une autre. Mais ainsi va la vie… Sophie Davant et William Leymergie baissent la garde, cet événement a tout fait basculer.
« À 58 ans, pour elle, et 74 pour lui, ces deux grands sensibles apprécient la valeur et la rareté de ces sentiments. »
L’ancien présentateur du 13h de France 2 n’a commencé à la voir qu’après avoir réussi à surmonter son deuil, causé par la perte de celle qui a partagé 40 ans de sa vie. Son épouse a été emportée l’année dernière, des suites d’une crise cardiaque. Cet évènement a tout fait basculer dans sa vie et dans celle de Sophie Davant. William Leymergie a ainsi commencé à « voir son ex-chroniqueuse avec d’autres yeux », comme indiqué dans le magazine « France Dimanche», qui s’est intéressée à l’amorce de cette nouvelle love story de l’ex du journaliste Pierre Sled.
Sophie Davant et William Leymergie auraient ainsi baissé la garde. Voilà pourquoi ils ont enfin pris la décision de rendre publique «leurs sentiments ». Les choses ont commencé par se confirmer lorsque les tourtereaux ont été immortalisés main dans la main, en balade dans les rues de la capitale.
« À 58 ans, pour elle, et 74 pour lui, ces deux grands sensibles apprécient la valeur et la rareté de ces sentiments. Nul doute qu’ils feront tout pour les faire perdurer », commente France Dimanche.
William Leymergie dans le déni total.
Il a fallu plus d’1 an à William Leymergie pour surmonter la mort de sa femme, sa boussole depuis 45 ans. Cette dernière repose aujourd’hui dans le cimetière de Saint-Gatien-des-bois, dans le Calvados.
« Un an après avoir dit au revoir à la femme de sa vie, c’est comme si William ne semblait pas admettre sa disparition, comme s’il lui était impossible de faire son deuil », nous précise déjà France Dimanche, le mois de juillet dernier. L »illustre présentateur se serait alors « réfugié dans le déni pour dissimuler sa souffrance et masque son immense chagrin ».