« Je suis certaine d’avoir loupé des moments importants », déclarait la célèbre animatrice d’Affaire conclue. Sophie Davant dévoile ce qu’elle regrette le plus avec ses enfants. Tous les détails avec la rédaction de Trop-libre.
Depuis la prononciation de son divorce avec Pierre Sled, l’animatrice de France 2 ne s’est plus remariée avec un autre homme. Devenue une mère célibataire du jour au lendemain, elle a fait ce qu’elle a pu avec les moyens du bord. Sophie Davant dévoile ce qu’elle regrette le plus avec ses enfants.
« William Leymergie m’avait choisie alors que je faisais une chronique dans son programme Télématin ».
Dans le cadre de la rentrée du mois de septembre, Sophie Davant, au dernier numéro de son célèbre magazine S sorti en kiosque depuis le jeudi 23 septembre 2021, s’est épanchée sur le début de sa carrière à la télévision. Une période particulièrement unique pour celle qui est devenue plus tard une figure emblématique de la deuxième chaîne.
À l’époque, elle a été propulsée toute seule aux commandes de C’est au programme. « William Leymergie m’avait choisie alors que je faisais une chronique dans son programme Télématin », se rappelait-elle avec beaucoup d’émotions. De chroniqueuse en présentatrice, Sophie Davant n’a pas tremblé face à la difficulté de la tâche. « Il y avait beaucoup d’appréhension ce premier jour de C’est au programme…J’avais le trac, ce n’était pas rien, cette nouvelle mission », poursuivait-elle.
Un nouveau statut qui a chamboulé totalement la vie familiale et professionnelle de Sophie Davant. « Là, je n’ai pas pu me demander comment je ferais pour accompagner mes enfants à l’école ! […] chaque jour de la rentrée de mes enfants correspondait avec le mien », a-t-elle fait mention.
« Quand j’ai de nouveau pu me rendre disponible, il était un peu tard…«
« Je n’ai donc pas vécu ces moments précieux où tu laisses ton enfant à la porte, tu dis au revoir de la main à ton petit bout de chou de 3 ans », ajoutait-elle. « Avec le recul, regrettait-elle, je suis certaine d’avoir loupé des moments importants. »
« C’est à peine croyable d’imaginer que je n’ai jamais pu accompagner ma fille… Ni mon fils, le premier jour de classe. Quand j’ai de nouveau pu me rendre disponible, il était un peu tard… Au lycée, les deux ados n’avaient aucune envie de me voir traîner dans les parages… Ils n’avaient plus l’âge ».