Très heureuse de devenir grand-mère pour la première fois, Sarah Ferguson a donné aussi son avis bien tranché sur la princesse Diana. On vous raconte toute l’histoire.
Devenue grand-mère pour la première fois après la naissance de son petit-fils, August Philip Hawke (fils de Sa fille cadette Eugenie et son époux Jack Brooksbank), Sarah Ferguson a donné une entrevue à nos confrères du magazine Bella. Très heureuse de pouvoir vivre enfin cette expérience unique, elle a donné son avis tranché sur son ancienne belle-sœur, la princesse Diana.
Des Mamies rocks…
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« Diana et moi avions le même amour total pour les enfants, affirmait-elle sans ambages. Nous n’avons rien aimé plus, toutes les deux, que de donner le sourire à un enfant« , ajoutait encore l’ancienne épouse du prince Andrew avec la même assurance. Celle qui vient tout juste de publier un nouveau roman appelé La Boussole du cœur, une histoire inspirée de la vie réelle de sa grand-tante Margaret, ne s’est pas arrêtée là.
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Très proche de la défunte belle-mère de Meghan Markle et Kate Middleton, elle ne tarit jamais d’éloges lorsqu’elle lui arrive d’évoquer sa vie ou encore la grand-mère qu’elle serait devenue.
« Nous aurions organisé des fêtes de grand-mère ensemble et nous aurions passé un bon moment, poursuivait la romancière. Je me demande s’il y aurait eu de la place pour que les enfants puissent monter dans le château gonflable, car elle et moi aurions été les premières à nous lancer« , confessait-elle avec une certaine fierté pour sa grande amie disparue.
La princesse Diana serait-elle parvenue à retenir les Sussex à rester en Angeleterre ?
Vers la fin, Sarah Ferguson (qui continue à vivre avec le fils de la reine Elisabeth II hormis leur divorce) est presque sûre d’une chose. Lady Diana aurait passé tout son temps à faire le va-et-vient entre Londres et Californie pour pouvoir passer plus de temps entre ses petites-filles et ses petits-fils.
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Qui sait aussi si la princesse Diana aurait réussi à convaincre les Sussex à rester en Angleterre. D’une façon ou d’une autre, « elle aurait été fière de ses fils et de leurs épouses« , terminait l’écrivaine.