Refroidie par Jean Castex, Anne-Sophie Lapix obligée de prendre une décision radicale sur France 2 pour cesser les polémiques. Les détails.
Le Premier ministre était invité sur le plateau du 20H de France 2 ce 11 mai dernier. Le moins que l’on puisse dire, celle qui est souvent remplacée par Karine Basté-Régis était_ce soir-là_ attendue au tournant pour cette interview. Son intervention avait ulcéré beaucoup d’internautes. Refroidie par Jean Castex, Anne-Sophie Lapix obligée de prendre une décision radicale sur France 2 !
« Anne-Sophie Lapix est une intervieweuse catastrophique«
« C’est ça le journalisme aujourd’hui ? Elle le coupe, parle en même temps que lui, pose des questions nulles, sourit niaisement (ça c’est pas nouveau), manque de respect…« , « Anne-Sophie Lapix est une intervieweuse catastrophique« , « Anne-Sophie Lapix s’est surpassée en grossièreté et dans le mépris ce soir sur le 20 h contre le premier ministre Jean Castex« , pouvait-on lire en commentaires sur le réseau social à l’oiseau bleu.
Voir cette publication sur Instagram
Anne-Sophie Lapix met fin à la polémique.
Cet évènement a poussé la journaliste de 49 ans à prendre une grande décision. Interviewée par Satellifax, Anne-Sophie Lapix a réagi aux critiques. Devant l’ampleur que prenait la situation sur les réseaux sociaux, la collègue de Laurent Delahousse préfère mettre fin à ces polémiques. « Tout sourire dans un entretien politique est synonyme de moquerie, un manque de respect », donnait-elle le ton avant d’annoncer qu’elle arrêtera désormais de sourire si tel est le problème.
Voir cette publication sur Instagram
La compagne de Arthur Sadoun d’ensuite aborder cet entretien avec le chef du gouvernement : « Tout s’est bien passé sur le plateau. Nous avons discuté à propos du Pays basque. À aucun moment je n’ai éprouvé qu’il s’est senti agressé », assurait-elle. « Sourire, poursuivait Anne-Sophie Lapix. Fait partie des valeurs qu’on m’a transmises. C’est une marque de politesse. Cela ne sert à rien de devenir une autre personne que soi-même ». Quoi qu’il en soit, sa décision est prise : « Désormais, je veillerai à ne plus poser des questions ironiques », avait-elle pris soin de conclure.