Nolwenn Leroy se retrouve au centre des projecteurs suite à cet amour inconditionnel pour Benjamin Biolay, la chanteuse obligée de faire une franche mise au point !
Ces derniers temps, les deux artistes ne se quittent plus. Travaillant ensemble pour le nouvel album de la gagnante de la Star Academy, ils passent tout leur temps ensemble ; le jour comme la nuit. Une proximité qui a alimenté une relation de couple dans la presse people. Nolwenn Leroy, cet amour inconditionnel pour Benjamin Biolay, la chanteuse fait le point.
« Il n’y a pas de hasard, c’est un alignement de planètes. Je suis arrivée à un point où je pouvais m’abandonner à quelqu’un…«
Interrogée par nos confrères de Femme Actuelle, Nolwenn Leroy ne s’est pas gênée pour parler avec autant d’admiration son compagnon de travail, Benjamin Biolay. Effectivement, les deux stars collaborent pour préparer l’album de Nolwenn Leroy, prévu de sortir dans les bacs le 12 novembre 2021.
« On s’était souvent croisés, aux Victoires de la Musique par exemple. Mais on ne se voyait pas régulièrement, rappelait-elle. L’idée d’un album a germé ces deux dernières années, confessait-elle.
Entre deux confinements, racontait Nolwenn Leroy, je l’ai rappelé pour lui demander si c’était toujours d’actualité, il a dit oui, et c’était parti. Il n’y a pas de hasard, c’est un alignement de planètes. Je suis arrivée à un point où je pouvais m’abandonner à quelqu’un, et laisser de côté mes insécurités. »
« J’ai enfin la sensation de ne plus avoir besoin de me justifier d’être là« .
« Ce que je peux dire, c’est que ça va tellement vite dans sa tête ! Il avance, il trouve très vite une idée, racontait-il. Si ça ne marche pas, il s’en rend compte aussitôt et trouve autre chose, a-t-elle fait mention. Pour quelqu’un comme moi, c’est très rassurant, on se dit « Il sait« .
« J’ai souvent eu des animaux sur mes pochettes, révélait-elle, c’est une sorte de tradition. Pour moi, poursuivait-elle, le cheval représente la liberté, l’urgence d’oser, d’y aller. Après vingt ans de travail, j’ai enfin la sensation de ne plus avoir besoin de me justifier d’être là », a-t-elle conclu.