Suite à la mort de Bastien Payet (12 coups de midi), l’affaire vient de connaître un nouveau rebondissement. Voici tous les détails !
Pour rappel, Bastien Payet, un ancien candidat des 12 coups de midi a subi de nombreux coups violents qui ont provoqué sa mort. Cela s’est produit le vendredi 9 mars 2019. Le jeune homme de 23 ans a perdu la vie le 10 mars 2019 après son admission aux soins intensifs.
Les enquêtes évoluent…
Au courant du mois de mars 2020, un article de nos confrères du journal L’Union avait dressé un bilan complet des avancées de l’enquête. « Un an après, les trois personnes mises en examen pour ‘meurtre’, dans cette affaire ont été présentées hier matin au palais de justice de Reims pour qu’il soit débattu de leur maintien ou non en détention, déclarait-on.
« À tour de rôle, les avocats des prévenus ont plaidé pour convaincre le juge de statuer au contrôle judiciaire. Au terme de l’audience, le juge s’y est opposé, conformément aux réquisitions du parquet qui avait évoqué la gravité du ‘trouble occasionné à l’ordre public’ et la nécessité d’’éviter toute concertation des suspects en raison de leurs ‘déclarations contradictoires.’ » De ce fait, la durée de leur mandat de dépôt (MD) a été prolongée de « six mois« , nous renseignait toujours la même source.
Le sort des trois suspects dans la mort de Bastien Payet (12 coups de midi) entre les mains du ministère public !
Il y a quelques jours, cette affaire Bastien Payet vient de connaître un tout nouveau rebondissement. Le jeudi 26 août 2021, le quotidien Le Nouveau Détective a sorti un dossier rapportant les dernières informations en date.
« L’instruction a pris fin en juillet dernier, affirmait-on. Les trois suspects continuent de s’accuser mutuellement, précisait le journal. On attend maintenant la décision du ministère public qui peut soit, demander le renvoi du trio infernal devant les assises pour ‘meurtre’ – crime passible de trente ans de réclusion – soit retenir une autre qualification, par exemple ‘coups mortels ayant entraîné la mort sans intention de la donner’, quinze ans minimum« , expliquait-on.
Quelle que soit la décision prise par cette institution, la vie de ces jeunes suspects est gâchée. Il faut que l’Etat réinvente sa manière de réprimander ce genre d’acte criminel. Très souvent, nos jeunes commettent des actes non réfléchis qui hypothèquent à jamais leur existence. Non seulement ils détruisent leurs vies mais aussi celles de leurs proches, sans parler du côté des victimes…