Le chanteur de 76 ans a encore fait parler de lui comme à son habitude. Cette déclaration sulfureuse de Michel Polnareff provoque un tollé sur la Toile. Les détails !
Quoi qu’on avance, l’artiste a un sens de l’humour un peu particulier. C’est à se demander s’il n’aurait pas dû faire carrière dans ce domaine. Mais ses blagues ne procurent pas les mêmes effets chez son grand public. Michel Polnareff a encore frappé fort avec cette déclaration sulfureuse qui provoque un tollé sur la Toile.
Quand Michel Polnareff taquine Pierre-Jean Chalençon suite à l’affaire des dîners clandestins.
Malgré son âge très avancé, le chanteur de 76 ans ne cesse de s’illustrer. Souvent comparé à Pierre-Jean Chalençon, l’artiste n’a pas manqué de glisser une vanne au sujet de l’affaire des dîners clandestins que l’ancien acheteur de France 2 aurait organisé, en présence de nombreux invités de marque, dans son Palais Vivienne, situé dans la capitale parisienne.
Si l’ex-acolyte de Julien Cohen dans l’émission d’enchères de France 2 avait nié en bloc toutes ces accusations, cela n’avait pas empêché la police d’engager une perquisition dans le lieu indiqué ainsi qu’une audition pour le principal prévenu. Un reportage diffusé par M6 avait trahi Pierre-Jean Chalençon. Les enquêteurs se sont appuyés sur ces images pour poursuivre leurs investigations.
Le 6 avril 2021, Michel Polnareff avait fait son petit numéro sur Twitter en taquinant le spécialiste de Napoléon. « Je n’ai pas organisé de repas clandestin« , mentionnait alors le célèbre interprète de « Lettre à France« .
« Encore un coup de ce correcteur automatique. Je voulais dire : ‘Mon public me manque‘ ».
Le dimanche 27 juin 2021, Michel Polnareff a encore rappelé à tout le monde son humour avec une publication improbable. « Mon pubis me manque!!! », écrivait-il dans son compte Twitter. Un post qui a provoqué un tollé dans l’ensemble des réseaux sociaux.
Quelques temps après sa publication de son premier message, le chanteur revient vers ses abonnés pour apporter une explication encore plus marrante que la première.
« Encore un coup de ce correcteur automatique, déplorait-il. Je voulais dire : ‘Mon public me manque’ ! », rectifiait celui qu’on surnomme « L’amiral ». Et il n’en fallait pas plus pour attirer les internautes.