Entre Meghan Markle et Harry, leur couple est au plus mal après ce test ADN imposé. Voici la véritable histoire…
Il y a quelques années, le prince Harry a fait la Une de toutes les actualités suite à son éventuelle aventure avec le mannequin Sarah Ann Macklin. À l’époque, le frère du prince William venait tout juste d’entamer sa relation avec Meghan Markle.
Selon de nombreuses sources, le prince Harry aurait mis beaucoup de temps avant de décider enfin entre Meghan Markle et Sarah Ann Macklin. On était en 2016. D’après Angela Levin, l’auteure de Harry : conservations with the Prince, c’est finalement la jolie brune qui a pris l’initiative de mettre un terme à ses relations avec le petit-fils de la reine Elisabeth II.
Qui est Sarah Ann Macklin ?
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La jeune femme se présente comme mannequin et rédactrice en chef du site ESInsider et mannequin. En commençant sa carrière dans le mannequinat depuis une dizaine d’années, elle représente aujourd’hui les grands noms du monde international comme Burberry, Dolce & Gabbana ou encore Ralph Lauren.
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Avec son physique de rêve, elle fait souvent la couverture des magazines tels que Harper’s Bazaar, Vogue. Après deux ans de spécialisation en nutrition humaine à Oxford University, elle « vise à intégrer l’éducation à la nutrition et le coaching en santé mentale au monde des mannequins« .
« J’ai senti que ma vocation était de changer les mauvaises habitudes alimentaires que je voyais si souvent dans le monde du mannequinat« .
Tout cela pour dire que la jeune femme n’avait pas besoin de Harry pour s’épanouir dans la vie.
Le test ADN…Une pratique courante de la monarchie…
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Il y a quelques semaines, People Story avait fait part d’une autre histoire…Beaucoup plus grave entre Meghan Markle et Harry. Contre toute attente, l’actrice américaine aurait eu une liaison avec un inconnu. Archie, leur premier enfant, ne serait même pas le fils de Harry.
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C’est ainsi qu’un test ADN (une pratique très courante dans la famille royale britannique). Le premier test aurait été effectué avant la naissance du jeune prince en effectuant des prélèvements au niveau du liquide amniotique. Si le résultat n’avait pas été concluant, le second test réalisé après l’accouchement de Meghan aurait confirmé la paternité de Harry.