Il a été mis sur le banc des accusés ce mardi 05 octobre sur C8. Matthieu Delormeau, le roi des radins, toute la bande de TPMP est contre lui. Les détails.
C’est le sujet de l’avarice qui a été débattu ce mardi 05 octobre par Cyril Hanouna et ses chroniqueurs. L’occasion pour toute l’équipe de pointer du doigt Matthieu Delormeau qui serait le roi des radins. Mais ce n’est pas tout ! Les accusations allaient bon train. Il s’avèrerait être également un voleur. Il s’accaparerait des choses dans les loges. La rédaction de Trop-Libre vous fait le point.
« Il vole les vêtements et les fruits » !
Toute la bande s’est mise d’accord pour affirmer que la palme de « la grosse pince » ne pourrait revenir qu’à un seul, nul autre que Matthieu Delormeau ! Le chroniqueur de 47 ans se sert de sa notoriété pour ne pas avoir à payer au restaurant. « Quand il va au restaurant, balance Guillaume Genton, il demande l’addition pour la faire passer en note de frais ».
« Lorsqu’il va au restaurant, à la fin, il demande au serveur : ‘Je vous dois quelque chose ?’ C’est honteux, c’est indécent », soulignait quant à elle Kelly Vedovelli. « Il fait le tour des concessions de Paris pour se faire prêter des voitures gratuitement et il les rend sans le plein d’essence, indique à son tour Benjamin Castaldi avant qu’il ne rajoute qu' »Il roule à l’œil ! »
« J’ai déjeuné deux fois avec lui, raconte Isabelle Morini Bosc et il a dit : ‘Amenez de la soupe à madame, elle ne peut manger que ça. Quand la note arrive, il dit : ‘C’est pour la vieille parce que déjà que je suis bien gentil de déjeuner avec elle…‘ »
Matthieu Delormeau prend sa défense.
En plus de sa radinerie, il pillerait également les loges du studio d’enregistrement ! Ses acolytes lui accusent de « voler les vêtements et les fruits ». Voyant tout le monde contre lui, Matthieu Delormeau ne se laisse pas faire. »Ce sont des fruits qui allaient être perdus », mettait-il au point.
« Le coup du restaurant, poursuit-il. Ça marche une fois sur trois. Je donne mon image et ils me donnent de la nourriture ! J’ai déjeuné avec Isabelle. J’ai donné de mon temps, elle a payé le restaurant : c’est du bon sens !«