Bruno Guillon et Les Z’amours ont marqué les esprits avec cette technique infaillible d’une candidate pour cacher à son mari ses nombreuses infidélités. Voici tous les détails !
Découvrez dans les Z’amours : cette technique infaillible d’une candidate pour cacher à son mari ses nombreuses infidélités. Valérie est en effet revenue sur ses multiples infidélités difficiles à organiser… Et dont son compagnon ne s’en doutait point. Si les histoires d’infidélités sont monnaie courante dans le jeu animé par Bruno Guillon, la candidate de ce vendredi 18 juin a réussi à surprendre l’animateur.
» Il n’est pas du tout au courant. Et personne ne le sait, d’ailleurs… » !
Lorsque le mari de Marion avait demandé à ses candidates de relater le jour où elles ont « transformé un peu la réalité » pour ménager leurs compagnons respectifs. Valérie s’est plutôt mise à évoquer un secret dont Lars n’en avait pas connaissance. « C’est quelque chose qui… Il n’est pas du tout au courant. Et personne ne le sait, d’ailleurs… », révélait-elle. « Je vous rappelle Valérie, si tant est qu’il soit nécessaire de le faire, que ce que nous faisons là est une émission de télévision », a tenu à souligner Bruno Guillon.
« On ne parle pas souvent des ex, etc. Et moi je me tais très fort quand on parle de ça, parce que pendant tout un temps – ce n’est pas très bien – j’en ai eu plusieurs à la fois, avouait Valérie. A un moment, ça devenait compliqué d’un point de vue agenda, donc je notais un peu qui j’avais vu quand pour ne pas, rajoutait-elle. Faire de gaffe ». Toutefois, elle ne tenait pas à en révéler le nombre. « Ils se reconnaîtront », rassurait-elle. Ce système était, poursuivait-elle resté en place pendant « très longtemps ».
Ce candidat de Bruno Guillon qui a « un agenda pour (s)es ex » !
Lars quant à lui, a assuré qu’à sa connaissance, Valérie n’avait qu’un ancien mari à qui d’ailleurs, elle ne fait jamais allusion. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il a aperçu la pancarte des Z’amours « un agenda pour les ex ». « C’est quoi cet agenda ? Je ne le connais pas, moi ! », réagissait-il. « C’était un agenda où je notais les rendez-vous… », lui rétorquait sa compagne, toute évasive. « Ça, c’est ce qu’on appelle déformer la réalité. Bravo, bien joué », lui lançait Bruno Guillon.