Laeticia Hallyday se retrouve pour la énième fois sous le feu des projecteurs avec toute cette « colère noire » envers le fisc qui intrigue. On vous raconte tout !
Si Johnny Hallyday pensait avoir mis Laeticia Hallyday et ses deux filles adoptives à l’abri des besoins, il n’a pas vu venir les foudres du fisc français qui s’abat sur sa veuve. En effet, la compagne de Jalil Lespert doit s’acquitter de la coquette somme de 30 millions d’euros. Toute cette « colère noire » de Laeticia Hallyday envers le fisc intrigue !
Ce caractère bien très trempé de Johnny Hallyday
Se donnant tous les moyens pour enfin s’en séparer, Jean-Marie Périer, le photographe et ami intime de Johnny Hallyday s’est emparé ce 31 mars de son fil Instagram pour partager une anecdote bien foutue sur le défunt mari de Laeticia Hallyday. De quoi témoigner du caractère bien trempé de l’interprète d’Allumer Le Feu. Il est rappelez-vous, l’auteur de la légendaire « photo du siècle » mettant en scène, courant 1966, de toute la bande de « Salut les copains« .
En publiant une photo de jeunesse de l’idole des jeunes, l’octogénaire s’est souvenu d’une anecdote qui date de l’époque des années 70. L’époque décrivait-il où il y avait encore moins de « politiquement correct« . Jean-Marie Périer est alors revenu sur ce jour où il était allé voir Eddy Mitchell en concert à l’Olympia. Johnny Hallyday était là aussi, mais quelque peu éméché. Ils ont d’ailleurs eu un bien drôle d’échange. « Quand il apparaît du haut de son mètre 85, tel que je le connais, racontait-il. Il est clair que la veille il n’a pas bu que de l’eau. Il chancelle un peu et son visage a le teint d’un cataphote de vélo (…). Le photographe d’ensuite poursuivre : « Il se tourne vers moi et me dit avec un aplomb confondant : ‘Je reviens d’Afrique, j’ai attrapé le Paludisme !' ».
« Cette colère noire contre les impôts français » !
Assis aux côtés de son ami au bar chez « Maryline« , Johnny Hallyday était, assurait-il entré « dans une colère noire contre les impôts français. Oui tu comprends ils me prennent tout etc…« . Son ami d’alors lui rétorquer : « Écoute je ne comprends pas, ta maison de disque t’a payé une fortune pour une publicité il y a un an et toi tu vas t’acheter un bateau cigarette qui en coûtait les trois-quarts, ce n’est pas raisonnable ! »
« J’en avais besoin pour aller sur la mer ! », lui lâcha au final le Taulier avec une voix bien grave. « J’avais trouvé ça poétique », concluait Jean-Marie Périer.