La veuve de Johnny Hallyday continue à crouler sous les charges financières. Laeticia Hallyday au bord de la ruine, elle implore les créanciers. Les détails.
L’état financier de Laeticia Hallyday laisse place à de nombreuses interrogations.
Laeticia Hallyday est-elle réellement sur la paille ?
Rappelez-vous de son engagement envers le fisc. D’ailleurs, elle lui revient à elle seule de s’affranchir de la lourde dette que devait son défunt mari. « C’est mon devoir, je l’accepte » , confiait l’ex de Pascal Balland en juillet 2020 dans les colonnes du magazine Paris Match. Force est de constater que la succession de Johnny Hallyday a un prix et elle coûte cher.
Elle doit en effet s’acquitter de 34 millions d’euros d’arriérés fiscaux. Par chance, le fisc a bien voulu l’alléger en arrondissant finalement le montant pour 30 millions dont 13 millions d’euros imputés à Navajo SARL. La dette en question, indique Capital, a été occasionnée par la tournée M’arrêter là ( 2009 et 2010) sur laquelle Johnny Hallyday n’avait pas payé d’impôts. 11 millions d’euros ont été d’antan, provisionnés et portés au passif de « la société Navajo SARL » appartenant au rockeur et transférée à sa mort dans la fiducie californienne JPS Trust. Laeticia Hallyday en est la seule bénéficiaire.
Laeticia Hallyday entendue par la justice.
Si la maman de Jade et Joy Hallyday s’est déjà séparée de certains de ses biens immobiliers hérités de son mariage avec Johnny Hallyday, elle n’est pas pour autant sortie d’affaire. Elle doit encore une coquette somme au fisc. Ne voulant pas surtout finir sur la paille, Laeticia Hallyday se donne tous les moyens pour y parvenir. N’ayant pas réussi à faire annuler ses dettes, elle essaie de retarder le plus longtemps possible le délai prévu pour le paiement. Ses avocats et elle ont pour objectif de placer « la société Navajo SARL » en procédure de sauvegarde.
Comme indiqué le 06 mai 2021 dans les colonnes du Capital, la compagne de Jalil Lespert est « venue exprès de Los Angeles » ce 15 mars « pour plaider sa cause devant les juges du tribunal de commerce de Paris ». Une requête qui lui a finalement été accordée ce 23 mars pour un délai supplémentaire de six mois. Grâce à ce sursis, l’ex-mannequin a donc droit jusqu’à dix ans maximum pour s’acquitter de son dû.