La diva a toujours entretenu une bonne relation avec le chanteur. Mais très peu de gens connaissent la nature de leur amitié. La fois où Hugues Aufray sauve Céline Dion de la mort.
Invité de Thomas Sotto sur RTL, le chanteur a livré une anecdote surprenante sur la veuve de René Angélil. Si elle venait de la bouche de quelqu’un d’autre, on aurait cru un pur mensonge. La fois où Hugues Aufray sauve Céline Dion de la mort.
« Quand on a annoncé à sa maman qu’elle était enceinte: On n’a pas assez d’argent, on est trop pauvres, on ne peut pas garder le bébé« .
Tout le monde sait jusque-là que la star internationale doit son prénom au titre d’Hugues Aufray, Céline. Interrogé par Thomas Sotto, ce dernier d’ajouter que la Québécoise doit même « la vie à cette chanson« . Une confidence qui n’a pas manqué de surprendre tout le plateau. Ce qui a obligé le célèbre interprète de Santiano de s’expliquer.
« Quand on a annoncé à sa maman qu’elle était enceinte, racontait-il, elle a dit à son mari des propos qui auraient signé l’arrêt de mort de celle qui se prénomme plus tard, Céline Dion. « On n’a pas assez d’argent, on est trop pauvres, on ne peut pas garder le bébé« , rapportait-il. Malgré ses idées religieuses très sérieuses [de la foi catholique, NDLR] elle a décidé de ne pas garder le bébé« , poursuivait l’artiste.
« On garde le bébé. Si c’est une fille, elle s’appellera Céline« .
Mais fort heureusement, elle s’est retrouvée à écouter Céline. Les paroles de la chanson ont eu une influence percutante dans son esprit. Au final, sa mère a fini par changer d’avis. « Elle a été bouleversée et a dit à son mari : On garde le bébé. Si c’est une fille, elle s’appellera Céline« , révélait-il.
Sous l’effet de la surprise, Thomas Sotto ne s’est pas retenu en lançant qu’Hugues Aufray est en réalité, « le père de Céline Dion« . Une appellation qui a beaucoup amusé le principal intéressé. Cette histoire a surtout flatté l’amour-propre de l’artiste de 91 ans. Cela lui a permis d’ailleurs de garder une relation extraordinaire avec la maman de René-Charles Angélil.