Kate Middleton et William ont l’œil rivé sur Meghan Markle, un garde du corps balance du lourd. La rédaction de Trop-Libre vous en dit plus.
Désormais devenus les vrais piliers de la monarchie, Kate Middleton et William ont l’œil rivé sur Meghan Markle. Révélations CHOCS d’un garde du corps.
Meghan Markle et Harry épiés depuis toujours par la reine Elisabeth II et son conseil restreint.
Les Sussex ont toujours été surveillés de près par les services secrets britanniques depuis leur sortie de la famille royale. La reine Elisabeth II, et son conseil restreint dont figurent le prince Charles et le prince William ont toujours été tenus informés de tous les faits et gestes de Meghan Markle et Harry depuis l’Outre-Atlantique. Kate Middleton de son côté, ne ferait pas exception. Le séjour des Sussex à Big Apple laisse un« goût nettement amer dans la bouche » de la Couronne. Mais pas que ! « Regarder l’arrogance et l’hypocrisie du prince Harry et de Meghan lors de leur tournée moralisatrice à New York me révolte », indiquait également Angela Levin dans un long billet dévoilé par The Sun, et rapporté par le tabloïd Daily Star.
« Ils ont le droit de croire à tort qu’ils font de bonnes choses, mais leur attitude discutable » !
« Pas question de prendre des risques avec leur sécurité », glisse New Idea. Si le magazine affirmait que les parents d’Archie avaient été escortés, durant leur tournée royale sur trois jours à New York, par des gardes du corps privés, cette information serait fausse. Selon Ben Wharfe, l’ex-garde du corps de la défunte princesse Diana, Meghan Markle et Harry ont été à la fois protégés par la police de New York ainsi que par la sécurité intérieure, liés assurément aux services britanniques au sein duquel se ferait des échanges d’informations.
«Ils ne représentent plus la reine ou le Royaume-Uni, ils devraient donc être considérés comme des particuliers et aucun argent public ne devrait être dépensé pour eux », déplorait celui-ci. « Personne d’autre ne devrait recevoir un tel traitement, ils ont le droit de croire à tort qu’ils font de bonnes choses, mais leur attitude discutable », poursuivait-il.