Encore l’une des machinations de la duchesse de Cambridge mise à découvert. Kate Middleton et William, la grosse manigance de Meghan Markle éclate au grand jour. La rédaction de Trop-Libre vous raconte tout.
Au final, Kate Middleton et William ont donc vu tout juste sur le véritable caractère de Meghan Markle. Bien avant son mariage avec le prince Harry, l’ancienne actrice américaine jouait déjà un double jeu. Une duplicité qui justifie la méfiance de tous envers la jeune femme. Kate Middleton et William, la grosse manigance de Meghan Markle éclate au grand jour.
« Le monde entier a cru que j’avais fait pleurer Kate, mais en réalité c’est elle qui m’a fait pleurer ».
Une source vient tout juste de confirmer que c’est effectivement la maman d’Archie et Lilibet qui est derrière le fameux Finding Freedom (Harry et Meghan, libres), un livre biographique non autorisé, retraçant l’histoire des Sussex. Ce livre a été mis en vente en Angleterre, quelques jours après le retrait définitif de Meghan Markle et du prince Harry au sein de la grande famille royale.
En épluchant ce livre, il revient avec des surprenants détails sur un gros clash entre Meghan Markle et sa belle-sœur Kate Middleton. C’est cette histoire qui a mis les puces aux oreilles car l’auteur relate le fait avec assurance. On a l’impression qu’il était présent le jour où les deux grandes femmes se sont chamaillées.
L’objet de leur discorde était la robe que devait porter la petite princesse Charlotte pour les noces de sa tante et de son oncle. Cela remontait à seulement quelques jours de mariage à proprement parler.
Durant l’entrevue accordée à la journaliste américaine Oprah Winfrey, Meghan Markle a glissé quelques mots sur cet évènement.
« Le monde entier a cru que j’avais fait pleurer Kate, mais en réalité c’est elle qui m’a fait pleurer !», affirmait-elle. Si elle a omis d’expliquer la raison de cette dispute, elle a fini par reconnaître ce qu’elle a fait.
Meghan Markle reconnaît ses torts
« Je reconnais que M. Knauf a fourni des informations aux auteurs et que j’en avais connaissance, écrivait-elle. Je présente mes excuses à la cour de ne pas m’être souvenue de ces échanges à l’époque », a-t-elle conclu.