Johnny Hallyday, cette exécrable influence de Laeticia, Eddy Mitchell déballe un peu trop

Johnny Hallyday cette exécrable influence de Laeticia Eddy Mitchell déballe un peu trop
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Johnny Hallyday, cette exécrable influence de Laeticia sur son défunt mari. Eddy Mitchell passe au déballage intime dans les colonnes du Parisien.

Interviewé par nos confrères du Parisien dans le cadre d’« Un petit peu d’amour », son titre en hommage au papa de David Hallyday, Laura Smet, Jade et Joy Hallyday, Eddy Mitchell a été invité à donner son avis sur Johnny Hallyday et cette exécrable influence de Laeticia. Sa veuve a-t-elle été d’une bonne ou plutôt d’une mauvaise influence pour le rockeur. Une question à laquelle Eddy Mitchell a répondu d’une manière indirecte.

« J’étais un peu son grand frère » !

« Cela remonte un peu, mais ça arrive. Et chaque fois, je l’engueule : « Ne fais pas ceci, ne fais pas cela, tiens-toi droit, se rappelait le chanteur avant qu’il ne révèle être comme de la famille du légendaire rockeur. « Dans la vie, affirmait-il. J’étais un peu son grand frère ». Eddy Mitchell d’ensuite mettre en doute une rumeur qui bruisse sur Laeticia Hallyday.

La compagne de Jalil Lespert est supposée avoir positivement influencé le père de ses filles. Elle aurait réussi à le calmer. « Il privilégie plutôt la diététique et son très réputé sain jus de citron tiède au petit-déjeuner. C’est que l’idole des jeunes n’est plus tout de jeune », commente Public qui fait état de cet énorme travail effectué par Laeticia Hallyday. Sauf qu’Eddy Mitchell est loin d’être convaincu de cette version.

« Johnny Hallyday n’a jamais écouté qui que ce soit » !

S’il ne l’a pas affirmé directement, il était sûr d’une chose : que Johnny Hallyday n’écoutait personne. « Quand il prenait des choses dérangeantes, je lui disais de se calmer. Mais il ne m’écoutait pas, assurait-il. D’ailleurs, rajoute Eddy Mitchell. Johnny Hallyday n’a jamais écouté qui que ce soit ». Voilà qui l’a fait rappeler une anecdote survenue lors de la tournée des Vieilles Canailles.

« Il nous avait laissés Jacques (Dutronc) et moi : « Je ne me sens pas bien. » On savait qu’il avait fait de la chimio l’après-midi, on était très
mal. Il est revenu sur scène et tout s’est bien passé. Et puis on a appris qu’avant le concert, il avait bouffé six boudins créoles bien pimentés. Il était parti vomir, bien sûr. Le sale gosse, quoi’« , terminait-il.