Jean Dujardin et Nicolas Bedos, les deux meilleurs amis du monde sont-ils réellement en pleine guerre ? Difficile à dire. Gros plan sur cette collaboration qui aurait tourné mal…
En pleine promotion de son film, OSS 117 – Alerte rouge en Afrique noire, sorti en salles depuis le mercredi 4 août 2021, le blockbuster français a accordé une longue entrevue à la rédaction de Journal du Dimanche. L’occasion également pour Nicolas Bedos de faire le point sur cette éventuelle guéguerre entre lui et son ami, Jean Dujardin. Rappelons que ce dernier fait partie des acteurs principaux de ce nouveau long métrage.
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Pour la première fois, les deux hommes se retrouvent sur le plateau des tournages d’OSS 117 – Alerte rouge en Afrique noire. Guy Bedos à la place du réalisateur et Jean Dujardin occupe le fauteuil de l’acteur.
« C’est un de mes meilleurs amis, débutait-il. C’est lui qui est venu me chercher pour OSS 117 et qui a convaincu les producteurs, avant même le succès de La Belle Époque. », ajoutait-il. En effet, « travailler avec quelqu’un d’intime offre des avantages, mais aussi des inconvénients« , précisait-il. « On a davantage peur de s’engueuler et de décevoir« , expliquait-il. « Ça fait très bizarre de donner des ordres à un copain qui connaît très bien ta vie privée et avec qui tu passes des vacances », confessait-il.
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« Jean est le patron de son interprétation »
« Quand je m’adresse à Daniel Auteuil, poursuivait le fils de Guy Bedos, je lui parle comme à un acteur ; quand je m’adresse à Jean, je parle à… Jean, c’est plus compliqué. » Mais fort heureusement, le rapport à l’âge s’est très vite imposé. « Il a des rapports de grand frère avec moi, lui qui m’a connu à une époque où la différence d’âge était plus marquée. »
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Par ailleurs, le mari de Nathalie Pechalat était presque irréprochable avec son talent hors pair. « Il était tellement habité et inventif que je n’ai pas eu grand-chose à dire : Jean est le patron de son interprétation. »