Aux dernières nouvelles de Jacques Dutronc, découvrez cette terrible angoisse de Françoise Hardy à l’annonce de son ostéonécrose.
Jacques Dutronc, selon les nouvelles relayées par Ici Paris, a beaucoup souffert de son grave cancer osseux. Cependant, ses inquiétudes s’étaient portées sur son épouse, Françoise Hardy. Pour rappel, celle-ci a frôlé le pire tout au long du confinement.
« Handicapée sur de nombreux plans par les effets cauchemardesques de thérapies lourdes, je vis confinée depuis 2019 et dépends des autres pour m’alimenter« .
Sur le plateau de Technikart, la chanteuse émérite, au plus mal, n’a pu s’approvisionner des produits de première nécessité. Une situation traumatique très difficile à vivre…
Pour revenir à la maladie de Jacques Dutronc, l’ostéonécrose tue le segment de l’os suite à un déficit d’apport sanguin. Elle est en général causée par une grave lésion ou tout simplement…Elle peut aussi survenir de façon spontanée.
« Handicapée sur de nombreux plans par les effets cauchemardesques de thérapies lourdes, je vis confinée depuis 2019 et dépends des autres pour m’alimenter, confessait-elle, le cœur brisé.
Lors du premier confinement, poursuivait-elle, mon grand ami Marco qui vit en banlieue ne pouvait plus m’apporter mes courses alimentaires de produits frais, regrettait-elle. En outre, l’approvisionnement en eau s’avérait très problématique, et d’un seul coup l’attente pour les précieuses livraisons Picard durait un mois. J’ai ressenti par conséquent une grande détresse », avouait-elle.
« À la suite de mes chimios de 2015, je n’ai quasiment plus de lymphocytes, et l’efficacité des vaccins ARNm passe par la réponse lymphocytaire« .
Nonobstant, cette grave situation ne l’a pas empêché de s’inquiéter pour son mari dès le diagnostic de son cancer. La chanteuse a prouvé une fois de plus son attachement indéfectible envers son mari malgré le temps qui passe entre leurs premiers amours de jeunesse.
« À la suite de mes chimios de l’année 2015, a-t-elle fait encore mention, je n’ai quasiment plus de lymphocytes, et l’efficacité des vaccins ARNm passe par la réponse lymphocytaire comme l’a expliqué la chercheuse Katalin Kariko. C’est un gros problème que je ne suis sans doute pas la seule à avoir, et dont aucun médecin ne parle », expliquait très clairement François Hardy.