« Il voulait en permanence que Céline Dion croit que tout venait de lui » : révélations troublantes sur René Angélil, le défunt mari de la diva.
Dans le livre Céline Dion, la vraie histoire, écrit par Laurence Pieau et Hervé Tropéa, à paraître ce 17 novembre prochain, les fans de la star de 54 ans voit une facette beaucoup plus sombre de celui qui a été l’époux et célèbre agent de l’interprète de Encore Un Soir. « Il voulait en permanence que Céline Dion croit que tout venait de lui » : révélations troublantes sur René Angélil, qui menait sa carrière d’une main de fer.
Céline Dion : les sombres facettes de René Angélil, son défunt mari, enfin révélées !
Dans les colonnes de Gala, des extraits du livre Céline Dion, la vraie histoire ont été publiés. Les auteurs de l’ouvrage y dressent un portrait peu reluisant du père de René-Charles, Eddy et Nelson.
Basés sur de nombreux témoignages de proches et d’anciens collaborateurs du couple, les auteurs ont conclu que René Angélil était un tout autre homme que celui dont il donnait l’air. Vito Luprano, ex-producteur exécutif de la star, a levé le voile sur son côté manipulateur.
René Angélil s' »attribue selon lui, le mérite de beaucoup de choses » concernant la carrière de Céline Dion.
« Il voulait en permanence que Céline croit que tout venait de lui » !
« Il voulait en permanence que Céline croit que tout venait de lui. Pour moi, c’était d’autant plus un problème que personne ne pouvait parler à Céline sans avoir parlé avant avec lui ! Il s’est comporté de cette façon avec elle depuis ses 14 ans« , raconte celui qui a produit 23 albums de la diva.
« Si René avait fait les choses à sa manière, il y a beaucoup de choix qui auraient vraiment été mauvais pour elle », poursuit l’ex-patron de Sony BMG au Canada.
« C’est René qui lui disait : ‘Tu vas faire un album en anglais, puis, tu vas faire un album avec Goldman, puis, tu vas en faire un autre avec Plamondon’. C’est lui qui a insisté pour qu’elle chante le titre du film Titanic », révèle également Éric Bureau dans le podcast, Céline Dion : récit d’une renaissance, rapporté dans les colonnes du Parisien en 2019.
« Je ne connaissais que l’image publique de René Angélil, celle d’une sorte d’ourson qu’on a envie de serrer dans ses bras (…) nous avons découvert un homme avec ses parts d’ombre et de lumière, qui essayait en permanence de tirer la couverture à lui. Avec, finalement, un rôle pas si important que ça dans la création du personnage Céline Dion », Conclut Hervé Tropéa au sein de cet ouvrage.