Devenu au fil des années un membre emblématique de l’équipe de l’émission d’enchères animée par Sophie Davant, voici 5 choses qu’il faut savoir sur Harold Hessel, le commissaire-priseur d’Affaire conclue. Vous allez encore plus l’adorer !
Qui est vraiment Harold Hessel : voici 5 choses qu’il faut savoir sur le commissaire-priseur d’Affaire conclue. Harold Hessel est devenu au fil du temps, le petit chouchou de Sophie Davant ainsi que des amateurs de chineries.
1- Un goût pour l’art acquis dès sa jeunesse.
« J’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont sensibilisé assez tôt, confiait-il lors d’un entretien accordé à la rédaction de Femme Actuelle. De façon informelle, avait-il pris soin de souligner. « Ils m’ont emmené, racontait-il. Voir des expositions dans les musées, assister à des enchères dans des salles de vente ». Pris de passion, il a alors suivi une double formation universitaire, des études de droit et des études d’histoire de l’art.
2- Charlotte de Turckheim : sa bonne fée
Avant d’intégrer la bande d’Affaire Conclue, Harold Hessel a fait ses armes aux côtés de Charlotte de Turckheim, la présentatrice de Vos objets ont une histoire, diffusée courant 2014, sur l’antenne de France 2. Le programme n’a duré que le temps de six mois. « C’est là que j’ai été repéré par la production de l’émission Affaire conclue. Ils ont trouvé que ce que je racontais était pertinent« , poursuivait-il.
3- Harold Hessel, très complice avec Sophie Davant
Avec Sophie Davant, « le feeling est tout de suite passé. Très vite, dévoile l’expert-priseur. On a établi une complicité qui est réelle. On connaît nos points forts, nos petites faiblesses (…) On se taquine un peu. On a des petites remarques récurrentes mais qui font partie de notre petit jeu de scène. On a vraiment plaisir à faire cette émission« , rajoute-t-il.
4- En couple et sans enfant
Harold Hessel a toujours mené sa vie avec une grande discrétion. « Je garde ma vie personnelle en dehors des caméras« , assurait-il.
5- Sa grande phobie
Harold Hessel est hématophobe. La simple évocation du sang engendre chez le commissaire-priseur des excès de panique incontrôlés. Souvenez-vous en mai 2019 où à la vue d’un angiostéromètre,_appareil servant à examiner les vaisseaux sanguins par pression_ Il a fait un brusque malaise. « Je dois dire que je n’ai plus eu à expertiser un seul objet médical depuis cet évènement. C’est une vraie gêne pour moi de parler de circulation sanguine. »