En voilà une terrible épreuve pour tous les parents. Frédéric François, le même jour il voit ses deux enfants mourir. Le choc émotionnel pour le chanteur et son épouse Monique. La rédaction de Trop-Libre vous explique en détail toute cette triste histoire.
Le célèbre artiste Belge d’origine Sicilienne continue à faire le bonheur de nombreuses générations de Français. En 50 ans de carrière, il a réussi haut les mains à cultiver tout un jardin secret avec la seule et unique compagne de sa vie, Monique. Ensemble, le couple a eu quatre enfants. Très peu des gens savent que les deux tourtereaux ont déjà vécu un drame que tout parent ne souhaite pas du tout connaître. Frédéric François, le même jour il voit ses deux enfants mourir. Il s’était dit qu’il ne pouvait pas survivre après ce drame familial. L’équipe Trop-Libre revient en effet sur toutes les déclarations faites par le chanteur en personne à ce sujet.
« Ça a été un événement douloureux. On avait commencé à tout préparer pour leur arrivée« .
Frédéric François et sa femme ont eu quatre enfants, tous nés entre 1970 et 1990. Ils sont devenus aujourd’hui des adultes et entretien leur propre famille. Mais avant ceux-ci, deux autres enfants ont été là mais ils n’ont eu la bénédiction de renouer avec la vie .Vers la fin des années 80, le couple attendait en fait des jumeaux. Mais malheureusement, la femme du chanteur, Monique, a eu une terrible fausse couche.
Frédéric François revient sur cet épisode très éprouvant de sa vie de père au micro de la rédaction de Télé Ciné Revue.
“Ça a été un événement douloureux. On avait commencé à tout préparer pour leur arrivée. Puis, on a dû aller à l’hôpital en urgence, et on nous a annoncé qu’on les avait perdus. Il a fallu du temps pour s’en remettre “.
“C’était un cauchemar. On a décidé très vite d’avoir un autre enfant« .
Mais en restant soudé, ils ont pu remonter la pente. “C’était un cauchemar. On a décidé très vite d’avoir un autre enfant. C’est ainsi que Victoria est arrivée. Ça a permis d’atténuer la douleur. Mais une perte pareille ne s’oublie pas.”.