Un documentaire dédié à Françoise Hardy baptisé « Françoise Hardy, une icône », diffusé sur France 3 a révélé tous les secrets du couple Françoise Hardy et Jacques Dutronc. Une liaison passionnée et fusionnelle qui a duré depuis de nombreuses années. Mais cette relation amoureuse n’a pas eu un début évident. Françoise Hardy nous raconte les détails de cette histoire passionnante.
Françoise Hardy n’a pas eu un coup de foudre : il était très laid.
Après quelques relations qui n’ont pas été fructueuses, Françoise Hardy et Jacques Dutronc se sont croisés à la fin des années 60. Les deux chanteurs débutent une relation profonde qui a été confirmée par la venue de leur fils Thomas.
Même s’ils ont été ensemble, le mode de vie du couple a été différent des autres. Chacun vit dans son appartement dans une même résidence. Une façon plus originale de vivre à deux mais qui leur correspondait parfaitement. Par la suite, le couple s’est éloigné sans jamais se séparer. Ils sont restés très complices et se respectent mutuellement.
Dans le documentaire « Françoise Hardy, une icône », Françoise Hardy maintenant âgée de 77 ans révèle qu’elle était loin d’être conquise par Jacques Dutronc. Selon ses sentiments, elle n’a pas eu ce qu’on appelle le coup de foudre en rencontrant Jacques Dutronc.
Jacques Dutronc : un physique différent des autres
Françoise Hardy révèle sa première rencontre avec Jacques Dutronc dans le reportage de France Télévisions. Tout remonte en 1967 lorsque Françoise Hardy croise Jacques Dutronc. Voici ce qu’elle raconte : « La première fois que j’ai rencontré Jacques (…). Il avait la tête rasée, la figure pleine de boutons, d’énormes lunettes. Il était très laid, je n’y ai pas fait attention du tout ».
Par la suite, elle a avoué que : « Petit à petit, je suis tombée sous le ch*rme. (…) Il avait ce regard irrésistible ». Bref, la chanteuse a su exploité son potentiel pour former un couple amoureux et solide.
Jacques Dutronc : plus qu’un mari
Etre la femme de Jacques Dutronc a été toujours compliqué pour Françoise Hardy. Il y a 10 ans, elle a confié à Mireille Dumas : « Mon futur veuf, je l’appelle comme ça parce que mon mari, ça me gêne. Je n’aime pas ça, je n’aime pas ce mot ».
En effet, Françoise Hardy a toujours espéré qu’elle part en premier : « Il sait que je ne voudrais surtout pas mourir après lui, car je ne supporterais pas qu’il disparaisse ».