Plongée dans un état de « souffrance cauchemardesque », la chanteuse vient en effet de lancer un appel au secours. Gros plan sur cette fin de vie très éprouvante de Françoise Hardy.
Au bout de nombreuses années de lutte acharnée contre sa grave maladie, l’artiste se déclare forfait. À en croire ses propres confidences, la chanteuse de 77 ans ne tiendra plus pour longtemps. Cette fin de vie très éprouvante Françoise Hardy.
« Ils ont brûlé mes glandes salivaires…«
De passage à l’antenne de RTL, l’ex-femme de Jacques Dutronc a détaillé son quotidien infernal depuis le diagnostic de son cancer du larynx. Rien que « Pour m’alimenter, confessait-elle, ça prend six heures par jour« .
« Le reste du temps, poursuivait-elle, je réponds aux mails, je fais des soins médicaux importants, je suis complètement asséchée de partout à cause des rayons, racontait-elle. Ils m’ont traversé 45 fois la tête. Ils ont brûlé mes glandes salivaires…« , expliquait-elle, en montrant sa souffrance à la fois physique et émotionnelle.
Depuis plus d’un, Françoise Hardy ne peut plus vivre de sa passion, chanter. Une mauvaise nouvelle qui ne fait qu’amplifier sa douleur et lui enlève pas à pas le goût de la vie. « Je suis dans un état de souffrance vraiment cauchemardesque la plupart du temps », avouait-elle.
Une douleur intense qui lui fait penser à adopter l’euthanasie. « À partir d’un certain moment où il y a beaucoup trop de souffrance et où il n’y a aucun espoir, il faut abréger les souffrances. C’est la moindre des choses, déclarait-elle. C’est humain« , estimait-elle. à partir de là, la maman de Thomas Dutronc tente de convaincre l’Administration Macron de prendre l’initiative. « Il faut que la France en fasse autant. Il faut faire cette loi. »
« Ma mère a pu, avec ma complicité, se faire euthanasier«
Souffrant de la maladie de Charcot, sa mère a également fait ce choix. »Ma mère a pu, avec ma complicité, se faire euthanasier. De savoir que son médecin pourrait l’aider et faire en sorte qu’elle soit euthanasiée quand elle ne voudrait plus continuer à vivre cette horrible maladie. Ça a été un confort extraordinaire« . Une partie de son public tente, par contre, de la convaincre d’accepter l’amour de Jésus-Christ…