Daniel Auteuil révèle pourquoi il a toujours eu « une espèce de vénération » pour Catherine Deneuve. Découvrez dans nos prochaines lignes les détails de sa confession.
Il y a des grandes stars dont leurs parcours seuls suffisent à incarner la magnificence à l’état brut. C’est effectivement le cas pour la comédienne tant admiré par André Téchiné, Luis Buñuel ou encore Jacques Demy. Une réputation qui s’étend jusqu’aux générations contemporaines. Daniel Auteuil révèle d’ailleurs pourquoi il a toujours eu « une espèce de vénération » pour Catherine Deneuve.
Ce qui fait le succès de Daniel Auteuil.
Les écrits de Daniel Auteuil sur le cinéma français, en 47 ans de carrière, laissent à désirer. L’une des plus belles pages de sa création est certainement le fameux Bébel des Sous-doués, réalisé par Claude Zidi. La même œuvre, comme on connaît tous, s’est démarquée dans l’univers très sélectif de la comédie, sous la direction éclairée d’Édouard Molinaro mais aussi celle de Francis Veber.
Les travaux incommensurables de certains metteurs en scène comme Michael Haneke, Patrice Chéreau, André Téchiné ou encore Olivier Marchal ont contribué à son grand succès à l’échelle mondiale.
André Téchiné fait l’éloge de Catherine Deneuve.
C’est grâce à André Téchiné que Daniel Auteuil a pu rencontrer d’ailleurs Catherine Deneuve. Les deux stars ont par la suite eu l’opportunité de jouer côte à côte dans deux longs métrages de ce réalisateur. Il s’agit en effet de Ma saison préférée, en 1993, et Les Voleurs, en 1996.
Interrogé par Michel Denisot le samedi Il n’a d’ailleurs pas tari d’éloges sur cette dernière au micro de Michel Denisot le samedi 26 juin 2021 sur Europe 1, l’acteur a fait l’éloge de son ancienne coéquipière.
« J’ai eu la chance de rencontrer des grands metteurs en scène, mais surtout ces grandes mises en scène m’ont donné de grandes partenaires, débutait-il. Je parlerai d’abord de Catherine Deneuve, avec qui j’ai fait deux films ».
« Ce que je peux dire, c’est que la proximité n’a jamais enlevé le mystère. C’était toujours quelqu’un, pour moi, d’extrêmement mystérieux, et d’extrêmement chaleureux« , poursuivait-il. « J’ai toujours eu pour elle une espèce de vénération…qui fait qu’elle…est pour moi le cinéma, elle représente le cinéma ».