Si 6 ans plus tôt, elle avait fui Paris, son retour a été compliqué. Charlotte Gainsbourg craque : voici comment Jane Birkin l’a secourue pour son retour à Paris. Tous les détails.
Après six années à vivre à New York, Charlotte Gainsbourg a pris juin 2020 la décision de revenir au bercail. Charlotte Gainsbourg « craque » : voici comment Jane Birkin l’a secourue pour son retour à Paris.
« J’espère que je saurai, un jour, regarder Paris à nouveau, sans que ce soit douloureux » !
« J’espère que je saurai, un jour, regarder Paris à nouveau, sans que ce soit douloureux« , confiait Charlotte Gainsbourg à Télérama après la mort de Kate Berry en 2013. Rappelons-le, sa demi-sœur a succombé des suites d’une chute depuis son appart situé au cinquième étage. « J’essayais de fuir mes attaches affectives parce que ma sœur venait de mourir », révélait la fille de Serge Gainsbourg et de Jane Birkin dans les colonnes du magazine ELLE.
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Charlotte Gainsbourg en pleine « détresse » !
Si elle revient aujourd’hui à Paris, c’est en partie grâce à sa mère. Elle vient pour finaliser le documentaire Jane par Charlotte, présenté en hors compétition à Cannes. L’autre raison, c’est à cause du Covid-19. La comédienne voulait retrouver ses proches. « C’est là aussi où je prends conscience qu’une partie des États-Unis, un pays que pourtant j’aime, est dans une culture différente. Quand il y a un problème grave, comme c’est le cas, on réalise qu’on veut rentrer “à la maison”« , indiquait la compagne d’Yves Attal dans les pages de Madame Figaro.
« Avec le Covid, j’ai senti que je n’étais pas chez moi, j’avais besoin d’être près de ma mère. Et d’Yvan, qui vivait plutôt à Paris », expliquait-elle ce 09 juillet 2021 auprès du Parisien. Ce retour au bercail n’a pas été sans conséquence. Comme on peut le lire dans les pages du quotidien, Charlotte Gainsbourg « craque« : « J’ai été dans une détresse, dévoilait-elle. Enfin je n’allais pas très bien à mon retour, et là, c’est toi qui m’as aidée et soutenue », s’adressait-elle à sa maman.
« Ce sont les moments où tu as une vraie utilité, un mot affreux pour une mère, mais tu peux montrer que tu es là, soulignait la Britannique. Je la voyais, étant si mal, et j’ai cherché des solutions pour l’apaiser dans ce retour à Paris« . Tout cela est bien derrière maintenant !