Après un séjour prolongé en Afrique du Sud en raison de son infection ORL, Charlène de Monaco était revenue sur le territoire monégasque. Son retour prend fin aussi vite. L’épouse du prince Albert II a dû en effet quitter le Rocher vers la mi-novembre. Elle a rejoint la Suisse pour un traitement dentaire, une cause qui serait remise en question aux dernières nouvelles…
Une vie de princesse fugitive pour Charlène de Monaco
Ayant vécu loin des siens pendant près de huit mois, la princesse Charlène a pu rejoindre Monaco en novembre dernier. Sous l’interdiction des médecins, elle était privée de voyage en avion dans son pays d’origine. Cette situation alimentait les rumeurs d’une séparation du couple princier monégasque. Albert de Monaco a tenté, maintes fois, de défendre leur relation.
Cependant, une source proche laisse entendre que la maman des jumeaux serait soumise à une pression. D’après celle-ci, « À Monaco, Charlène est en permanence observée, jugée, détestée ». Son mari aurait de plus du mal à la protéger, malgré son amour pour elle. Une situation qui donnerait à l’ex-nageuse une envie d’évasion.
Charlène de Monaco dépendante ?
Le peuple monégasque attendait son arrivée pour la Sainte-Dévote le 27 janvier dernier. Un communiqué officiel a toutefois mis fin à leur espoir. Ceci informait que : « Son rétablissement ainsi que le suivi de ses soins dentaires devant encore prendre plusieurs semaines, la princesse ne pourra malheureusement pas assister cette année aux festivités de Sainte-Dévote ».
Par ailleurs, Vanity Fair en version italienne a publié une tout autre interprétation du séjour de la princesse en Suisse. Selon ce magazine, Charlène de Monaco se trouve dans un centre pour « se désintoxiquer d’un abus de drogues et de somnifères ». Elle s’en serait administré en quantité excessive durant sa maladie.
Une cachette luxueuse pour sa convalescence
Le lieu d’isolement de la princesse monégasque a été tenu secret jusqu’en décembre de l’an dernier. La directrice de la rédaction de Voici a révélé qu’il s’agirait d’une « clinique VIP ultra chic » en Suisse. Cet endroit tout confort et luxueux qui accueille l’épouse du prince Albert , serait un centre spécialisé dans les addictions et les troubles psychologiques.
Lors de cette déclaration au Point, elle a expliqué que Charlène de Monaco devait « se faire soigner pour une dépendance aux médicaments et aux somnifères. ». Suite à ses soucis d’ORL, elle avait commencé un sevrage sur place qui se poursuit actuellement, à cause de son état encore fragile.