Charlène de Monaco: ce « sacré choc » que va encore devoir encaisser ses jumeaux, Jacques et Gabriella

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Les épreuves se multiplient pour la famille princière. Charlène de Monaco, ce « sacré choc » que va encore devoir encaisser ses jumeaux, Jacques et Gabriella. Découvrez plus de détails dans les prochaines lignes.

Si les jumeaux Grimaldi font bonne figure depuis l’absence de leur mère, aujourd’hui plus que jamais, les choses sont de plus en plus éprouvantes pour tous les deux. Charlène de Monaco, ce « sacré choc » que va encore devoir encaisser ses jumeaux, Jacques et Gabriella.

Encore un coup dur pour les jumeaux de six ans !

Cela fait déjà plusieurs mois que la Première dame du Rocher est absente de la Principauté. Avec la très longue convalescence qui l’attend depuis sa dernière opération chirurgicale, elle ne risquera pas de rentrer de sitôt. « C’est extrêmement difficile pour moi. Mon mari et mes enfants me manquent beaucoup« , confiait la mère de famille auprès de Channel24 le mois de juillet dernier.

 

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Ses jumeaux commencent eux aussi, à en pâtir de cette absence, notamment à l’approche de la rentrée scolaire. « C’est sans leur mère adorée que les jumeaux de Charlène et d’Albert risquent de faire leur entrée au cours préparatoire », indique nos confrères de France Dimanche. Ils craignent particulièrement que l’absence prolongée de Charlène de Monaco puisse finir par « avoir des répercussions sur la poursuite de leur scolarité ».

Cette étape cruciale de la vie de Jacques et Gabriella que Charlène va devoir manquer

Jacques et Gabriella seront amenés à se plier à « des règles plus strictes« . Un « sacré choc » en perspective, glisse à son tour Public parce que cette « rupture avec la maternelle » pourrait leur être « plus difficile encore que pour les autres enfants de leur âge ».

Les pédopsychiatres insistent énormément sur le côté très délicat de cette nouvelle étape dans la vie d’un enfant. Le passage à la CP, qui est une classe essentielle, s’avère très « déterminant pour la suite et notamment, l’arrière au collège ». C’est la raison pour laquelle « les enseignants autorisent les parents à accompagner leurs enfants jusque dans la salle de classe le jour de la rentrée, afin que la rupture se fasse en douceur ».