De passage sur le plateau de « J’ai dix ans », découvrez cette révélation très douteuse de Michel Drucker sur son frère Jean.
En pleine promotion de son dernier livre intitulé « Ca ira mieux demain » où il accouche les non-dits de sa double opération au niveau du cœur, l’anchorman de France 2 était l’invité spécial de France Info pour participer au programme « J’ai dix ans ». Cette révélation très douteuse de Michel Drucker sur son frère Jean.
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Gros plan sur cette enfance jalonnée de stress
« C’est une enfance jalonnée de stress, confessait-il, avant de peindre cette atmosphère anxiogène, favorisée par un père très très exigeant. En effet, son paternel voulait que ses trois fils, car nous étions trois frères, soient tous des « numéros 1« . Pour arriver à ses fins, il n’accorde pas de limites en plaçant la barre très haut…
Cette admiration sans faille de Michel Drucker pour son frère Jean…
Quant à ses relations avec ses frères, l’animateur est plutôt dans l’admiration. « J’étais très admiratif. Il y avait quatre, cinq ans d’écart avec mon jeune frère, poursuivait-il. Jean et moi, on était presque jumeaux, on avait un an d’écart, racontait Michel Drucker. Mais j’étais fou d’admiration pour Jean…Il était mon héros. Il avait d’ailleurs tout ! Il était beau mec, il plaisait aux filles, il était brillant…« .
Une admiration qui a fait naître une complicité hors du commun. Cela a perduré jusqu’à l’âge adulte. « Il voyait bien que je dérouillais, que je me faisais engueuler tout le temps, se souvient le présentateur de Vivement dimanche.
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Pour revenir à cet engagement que son père s’est fait, chaque jour s’annonçait comme un nouveau défi. « Mon père était un véritable caractériel. Il n’avait aucune patience, balançait-il. Il avait surtout le don de me réveiller la nuit en rentrant de la maternité où il avait accouché une dame à trois heures du matin…
« Il me réveillait pour me faire réciter mes leçons… Expliquait-il. Quand on a dix ans et qu’on est réveillé comme ça par son père, on est tétanisé… , avouait-il. Déjà qu’on ne dort pas parce qu’on a peur du lendemain, on ne se rendort pas une fois que le père est parti« , a-t-il terminé.