L’infirmière de 33 ans reste introuvable. Les enquêteurs tergiversent et n’ont aucune piste probante. Voici ce que son fils de 6 ans pense de la disparition de Delphine Jubillar. Le choc !
Personne ne sait où la jeune maman se trouve et ce depuis 16 décembre 2020. Ces derniers jours, les enquêteurs s’intéressent davantage à ses proches. Découvrez ce que son fils de 6 ans pense de la disparition de Delphine Jubillar.
Depuis l’annonce officielle constatant la disparition de Delphine Jubillar, la vie à Cagnac-les-Mines a été bouleversée. Les gens vivent dans la crainte de ne plus retrouver la jeune femme. Les enquêteurs, malgré le temps, n’ont pas encore réussi à trouver le moindre indice qui pourrait contribuer à retrouver sa trace. Sur les réseaux sociaux, l’opinion publique commence à s’interroger sur l’efficacité du service de renseignement de la police.
Son fils de 6 ans a « déjà entendu ses parents se disputer« .
Aux dernières nouvelles, les enquêteurs se sont tournés vers son fils de 6 ans. Une information relayée par le journal Parisien le dimanche 10 janvier 2021. Selon cet article, l’enfant a raconté aux enquêteurs qu’il a « déjà entendu ses parents se disputer« .
Le soir de la disparition de sa mère par contre, le jeune garçon a certifié n’avoir jamais entendu le moindre conflit entre ses deux parents, Delphine Jubillar et Cédric Jubillar. Il s’est rappelé également que ce soir-là, sa maman lui avait un gros »câlin » avant qu’il se mette au lit. En effet, il a confirmé n’avoir « entendu ni remarqué quelque chose d’anormal tout au long de la nuit« .
« Travailler sur les proches de la victime, c’est la base. Mais il faut des preuves avant d’accuser quelqu’un« .
Son père, Cédric Jubillar, n’arrêtait pas d’affirmer à chaque prise de parole en public que « tout se passait bien » entre lui et la mère de son enfant. Le divorce, ajoutait-il, a été effectué à l’amiable. Ce qui n’empêche la fâcheuse comparaison à Jonathann Daval. D’une façon ou d’une autre, les enquêteurs sont certains que « travailler sur les proches de la victime, c’est la base, affirmait-on dans les colonnes du Parisien. Mais il faut des preuves avant d’accuser quelqu’un« , précisait-on encore dans le même article.