Caroline de Monaco, la vérité sur la fuite de Charlène. Le quotidien de la princesse de Monaco devenait si infernal qu’elle a senti le besoin de s’exiler dans ses terres ancestrales, bien loin du Rocher et de ses problèmes.
Si la Principauté explique l’absence de l’épouse du prince Albert du Rocher par ses ennuis de santé, ils se murmurent que la raison en serait tout autre. Caroline de Monaco, la vérité sur la fuite de Charlène, ce quotidien infernal qu’elle ne pouvait plus supporter.
« Les sœurs d’Albert lui auraient mené la vie dure dès son emménagement à Monaco » !
Bien loin des crises conjugales sur le compte duquel beaucoup de magazines people tendent à expliquer l’exil de Charlène de Monaco en Afrique du Sud, Public vient de faire la lumière sur la véritable cause de son départ. La maman de Charlotte Casiraghi serait la première responsable. L’hebdo se base effectivement sur une révélation de Frankfurter Rundschau.
« Le désamour de la princesse pour Monaco ne daterait pas d’hier. En réalité, l’ancienne athlète ne se serait jamais sentie intégrée au clan Grimaldi, indique le magazine allemand. La raison ?, interroge la publication. Les sœurs d’Albert lui auraient mené la vie dure dès son emménagement à Monaco », comme le révèle une source proche de la famille.
« Quelques-uns se sont montrés hostiles à mon égard » !
« Caroline a très mal vécu l’arrivée de Charlène. Jusqu’ici, c’était elle la Première dame du Rocher. Et avant la naissance de Jacques et de Gabriella, c’est à elle que devait revenir le trône si, par malheur, il arrivait quelque chose à Albert », rajoute encore la source anonyme. « Frustrée d’être reléguée au second plan, Caroline aurait fait vivre un enfer à la nouvelle recrue de la monarchie », peut-on lire.
Des propos dont Charlène de Monaco avait déjà déploré, à maintes reprises.« Mes premiers temps dans ce nouvel environnement ont été un véritable défi, confessait l’ex-nageuse olympique. Ma famille et mes amis me manquaient, autant que le mode de vie plus simple dans lequel j’avais été élevée, continuait la fille de Lynette Wittstock. Quelques-uns se sont montrés hostiles à mon égard, rejetant ainsi le choix du souverain. Cela l’a atteint et blessé autant que moi-même. Dans cette épreuve, nous avons tous les deux souffert ».