Bien longtemps en conflit avec son mari, Caroline de Monaco cède-t-elle enfin au divorce ? Ce nouveau pacte qu’elle a passé avec le fils d’Ernst August de Hanovre en dit long. Les détails dans les prochaines lignes.
La belle-sœur de Charlène de Monaco a déjà fait son choix depuis le premier instant de leur friction. Avec la proximité de son mari avec une artiste de nationalité espagnole (une relation amoureuse selon le magazine people Hola), Caroline de Monaco cède enfin au divorce ?
Jusqu’à présent, la maman de Charlotte n’envisageait pas du tout cette option. Au contraire, elle est allée jusqu’à conclure une alliance avec ses beaux-enfants, Christian et Ernst August Jr.
Voici ce que Caroline de Monaco recherche avec cet accord !
L’objectif de Caroline de Monaco est très simple. Il s’agit en effet de préserver l’héritage de son mari, estimé jusqu’à présent à hauteur de plus de trente millions d’euros.
Malgré les petites histoires contractées d’ici et là, pas question pour Caroline de Monaco de lui accorder le divorce. Ce nouveau pacte conclu avec les deux fils d’Ernst de Hanovre ne fait que conforter sa position.
De son côté, l’hebdomadaire Hola a confirmé cet accord conclu entre la princesse Caroline de Monaco et les aînés de son mari. Ernst August Jr. est né au courant de l’année 1983 avec son tout premier mariage avec Chantal Hochuli. Installé aujourd’hui en Espagne, Christian fait partie des héritiers du prince.
« Les médecins l’ont déclaré irresponsable de ses actes«
Ernst August Jr et Caroline de Monaco ont toujours entretenu d’excellentes relations. Cet accord est donc l’aboutissement de cette bonne entente motivée par la protection du patrimoine familial. Connaissant en outre l’état de santé psychologique du principal intéressé.
Terrassé par une maladie, ce cousin éloigné de la reine d’Angleterre a la santé fragile. Il ne serait même plus maître de ses décisions. Son état de santé est « tellement grave que, selon la loi autrichienne, les médecins l’ont déclaré irresponsable de ses actes ». Et c’est effectivement sa femme officielle qui aurait été chargée d’assumer « la tutelle et de prendre, à sa place, les décisions quant aux suites de son traitement ».