Albert de Monaco, son ex et leur fils Alexandre sortent de l’ombre. Cette offre que Charlène ne va pas apprécier à son retour au Rocher. Voici les détails.
Alors que la princesse de Monaco est retranchée sur les terres sud-africaines, le souverain pourrait bien être amené d’ici là, à prendre certaines dispositions. Albert de Monaco, son ex et leur fils Alexandre sortent de l’ombre, cette offre que Charlène ne verra pas d’un bon œil à son retour au Rocher.
Nicole Coste : « J’aime les Monégasques d’un amour sincère, et ils me le rendent bien ».
Alexandre, qui a fêté son 18 ème anniversaire en août dernier pourrait se voir proposé de jouer un rôle au Principauté, croit savoir Ici Paris, après les confidences données par sa mère dans Paris Match et dans le magazine italien « Chi ».
« Son père et lui s’entendent à merveille et sont très complices, confie Nicole Coste. Ils aiment pratiquer ensemble des activités sportives et, parler parfois politique », poursuit la styliste de profession qui entend occuper un rôle important à Monaco comme évoqué dans les colonnes de Paris Match.
« Les enfants ayant grandi, donnait-elle le ton. J’ai aujourd’hui plus de temps à consacrer à des causes importantes. Et si, de ce fait, je dois être appelée à des fonctions plus exposées, indiquait-elle. Je pense être capable de gérer mon image en toute confiance et à bon escient(…) Concernant la principauté, j’aime les Monégasques d’un amour sincère, et ils me le rendent bien. Si l’on me propose de proposer de contribuer à une tâche charitable ou autre, poursuivait-elle. Je le ferai avec plaisir et bienveillance ».
« Une âpre guérilla en perspective » entre Charlène de Monaco et sa présumée rivale, Nicole Coste.
D’ailleurs, précise-t-elle, « du fait de l’existence d’Alexandre, nous sommes liés, et mon nom est systématiquement associé à celui de Monaco ». Voilà des propos qui ne vont pas être bien vus par Charlène de Monaco. Il y a peu de chance à ce que la Première dame du Rocher valide cette requête à son retour au Rocher cette fin du mois d’octobre. « Une âpre guérilla en perspective », présage nos confrères d’Ici Paris.