La grosse tension se fait de plus en plus ressentir entre le prince et la princesse. Albert de Monaco accepte au final l’ultimatum de Charlène accepté, la peau d’une grande rivale. L’équipe Trop-Libre revient sur tous les détails…
Au bout de plusieurs mois d’absence où la princesse n’aurait pas cessé d’insister pour que son époux accepte enfin ses requêtes, le temps a fini par lui donner raison. Albert de Monaco accepte l’ultimatum de Charlène accepté, la peau d’une grande rivale.
Ce nouveau rôle joué par Charlène de Monaco pour son prochain retour.
En effet, la maman de Jacques et Gabriella aurait demandé à son époux d’éloigner définitivement du Palais (avec effet immédiat) une grande femme peinte comme sa principale adversaire. Au dernier numéro du célèbre magazine allemand Bunte a fait une révélation explosive sur toutes les exigences de la première dame du Rocher.
En effet, l’ex-nageuse professionnelle espérerait de tout cœur, extirper, ses jumeaux au sein de la principauté monégasque. Un système appelé à être perpétué par ces deux enfants bien avant leur naissance.
Premier héritier au trône de Monaco, Jacques Grimaldi sera investi au titre de prince régnant. Une exigence, aussi légitime soit-elle, reste impossible à satisfaire.
Par contre, celle où elle lui a réclamé plus de responsabilité a été satisfaite sans difficulté. En effet, le prince Albert II de Monaco vient de nommer son épouse, la chère et tendre Caroline de Monaco, au titre de vice-présidente de La Croix-Rouge de Monaco.
Dans son nouveau poste, la Première dame du Rocher viserait la tête de Nicole Coste, la maîtresse d’Albert qui lui a donné un fils. Malgré la reconnaissance du prince pour ses deux premiers enfants nés hors mariage, ils ne seront jamais les bienvenus aux yeux de la maman de Jacques et Gabriella.
La réaction de Nicole Coste
L’ex-hôtesse de l’air a tellement brillé dans une longue entrevue jugée très impudique dans les colonnes de « Paris Match ». L’occasion où elle a lancé une petite pique à l’endroit de la première dame qui la détesterait autant. Une réaction où elle aurait même obtenu « l’accord, même tacite, du palais. ».