C’est assez rare pour être mentionné. Dans Affaire conclue, une vendeuse se fait recaler à cause d’une contrefaçon Louis Vuitton . Les détails !
Enora Alix officiait ce 18 juin dans Affaire conclue, une vendeuse se fait recaler à cause d’une contrefaçon Louis Vuitton. Elle avait en effet été amenée ce vendredi à expertiser la valise apportée par une certaine Sarah. Une valise appartenant d’antan à sa grand-mère.
« Elle l’a achetée dans les années 60-70, on n’a pas la trace exacte. Elle se l’était achetée pour aller au festival de Cannes avec sa meilleure amie. C’était un peu le symbole de son ascension sociale, parce qu’elle venait d’une famille très modeste », avait confié Sarah. Au premier coup d’œil, la commissaire-priseur de l’émission d’enchères de Sophie Davant avait noté qu’un détail n’allait pas. Il s’agissait, assurait Enora Alix, d’une contrefaçon de Louis Vuitton.
Enora Alix démasque un faux Louis Vuitton dans Affaire conclue.
« Le monogramme a été crée en 1896 pour éviter les contrefaçons. Parce que dès l’époque, il y avait des modèles qui étaient faits pour imiter cette grande maison », expliquait l’experte. « Elle me semble, pour ce modèle, particulièrement neuve et en bon état… », continuait l’experte d’Affaire conclue avant de souligner que la poignée ne collait pas avec le modèle en question. « Quand ils fabriquent leurs bagages, en aucun cas ils n’ont le droit de couper le monogramme. Ça ne se pratique pas dans cette grande maison, précisait-elle encore. Et malheureusement, devant moi, je vois que la toile enduite n’a pas un bon positionnement. […] C’est l’indice le plus visible. Le monogramme, ça ne peut pas être bon. »
« Je ne m’attendais pas à ça » !
Sarah tentait tant bien que mal de se défendre en se basant sur l’étiquette portant le nom de la marque. l’acolyte d’Harold Hessel de lui préciser que ça ne suffisait pas étant donné qu’elle était désolidarisée de la valise… « Je ne m’attendais pas à ça, regrettait-elle. Elle est pas mal, celle-là… Peut-être qu’il l’avait achetée de la main à la main, parce que mon grand-père faisait des affaires comme ça souvent… », essayait-elle de justifier. Elle ne pouvait donc pas accéder à la salle de ventes.