Affaire conclue : un vendeur gonfle le prix de son objet et provoque la colère d’un acheteur !

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© JDD

Il faut s’attendre à tout avec l’émission d’enchères de France 2. Un vendeur d’Affaire conclue gonfle le prix de son objet et provoque la colère d’un acheteur ! Voici le résumé détaillé de cette séquence…

à chacune des enchères diffusées sur la deuxième chaîne, tous les candidats désirent toujours repartir avec le maximum d’argent possible. Mais le prix, comme on le sait tous, est déterminé par la réputation de chacune des marchandises présentées. Au dernier épisode d’Affaire conclue, un vendeur gonfle le prix de son objet et provoque la colère d’un acheteur !

Cet objet où le vendeur a mis tout son espoir

 

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Ce jeudi 26 août 2021, un jeune étudiant de 18 ans, prénommé Arthur, s’est présenté face à Sophie Davant pour proposer aux enchères un magnifique tableau.

 

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Motivé par cette œuvre d’art signée de la main de Frédéric de Montaland (un surnom donné au peintre Eugène Henri Cauchois, médaillé lors de l’exposition universelle de l’année 1900), le jeune étudiant s’attendait à voir les enchères exploser.

 

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Arthur l’avait en effet hérité de son arrière-grand-mère. De cette vente, il espérait arrondir sa fin de mois très difficile depuis l’apparition de la crise sanitaire qui continue à faire des ravages dans nos sociétés sur tous les domaines.

Cette méthode peu recommandable d’Arthur agace Bernard Dumeige

Après expertise, Enora Alix a estimé le tableau d’Arthur à 500 euros. Dès son arrivée en sales de vente, l’objet a attiré la plupart des acheteurs. Au final, Anne-Catherine Verwaerde lui propose alors 550 euros. Si le prix dépassait déjà d’une cinquantaine d’euros le prix estimatif, Arthur ne semble pas être satisfait.

Pour obtenir plus, il ne s’est pas gêné pour solliciter la générosité des acheteurs. « Vous pouvez monter peut-être encore un peu plus », déclarait-il. Une méthode pas tolérée par Bernard Dumeige. Il lui a donc demandé le prix donné par Enora Alix lors de l’estimation.

« Entre 500 et 600 euros » lui répondait le jeune homme. Une réponse qui n’a pas manqué d’agacer le principal intéressé. « Non, c’est un prix fixe, il n’y a pas de “entre ça et entre ça” ». Il s’est très vite résolu et avait conclu l’affaire pour 550 euros.